Histoire des Runes
Histoire de l'alphabet
On dit que
l'ancien futhark ait été utilisé premièrement environ en
200 av. J.C., certains
archéologues auraient trouvés des
pierres runiques datant de
1300 av. J.C.
Des runes ont été
retrouvées un peu partout en
Europe, les plus anciennes de la
mer Baltique aux
Balkans. Les runes était très répandues, elles durent mener un vrai combat contre le
catholicisme, étant interdite par cette religion. Les runes étant souvent
transmises oralement, elles continuèrent à se répandre en
Scandinavie, Islande, Groënland et sur
quelques îles britanniques.
Le mot rune, selon les langues et dialectes, signifie «
secret », «
mystère » ou «
caché », «
murmurer » ...
Il existe plusieurs futharks. L'Ancien Futhark est le Futhark le plus souvent utilisé de nos jours pour la divination et la magie runique.
Son nom lui vient des premières lettres qui le composent : Futhark. Il contient 24 runes, divisée en trois oettir. Récemment (le siècle dernier), on lui a ajouter une 25ème rune, Wyrd, ou la rune blanche.
Les
runes Anglo-saxonnes sont au nombre de 33. Elles ont été utilisées entre 800 et 900 après J.C.
Le
futhark Dadois (ou Norrois) est composé de 16 runes (entre 600 et 800 ap.J.C.).
Le
futhark médiéval, à 25 runes. La 25e rune se nommant Quairtra, elle représente le feu cérémoniel et la purification.
Les
Runes médiévales de magie et de guérison, composées de 8 ou de 13 runes suivant les versions, ce futhark est utilisé uniquement pour la magie runique.
Légende Odin, le plus puissant des dieux, voulait connaître les runes et les révéler. Il avait toujours savoir de
connaissance.
Neuf jours et neuf nuits, il se suspendit, à l'aide de sa lance, la tête en bas, à l'arbre sacré
Yggdrasil. Odin lutta pour dépasser sa douleur, pour percer le
secret des runes. Il finit par les découvrir à la fin de la neuvième nuit. Voici le
poème qu'il aurait prononcé:
« Blessé, je pendais à cet arbre balayé par les vents ;
Pendant neuf nuits et neuf jours ;
Transpercé par une lance ;
Perdant mon sang pour Odin ;
Offert moi-même à moi-même ;
Lié à cet arbre ;
Dont personne ne connaît la naissance des racines.
On ne me donna pas de pain ;
On ne me donna pas à boire ;
Je regardais en bas ;
Pour prendre les runes ;
Je tombais de cet arbre dans un cri. »
sources:Wikipédia, La guilde des Mages.